La troisième guerre mondiale pourrait être la dernière…
Posté : dim. juil. 16, 2023 2:11 am
Bonne revoyure,
Les guerres dans le monde me tapent sur les nerfs !
C'est le moins que je puisse dire.
C'est à mon tour de me défouler.
Mais certains sont indifférents, insouciants, insoucieux.
Et quand c'est le cas, on peut redire comme Jacques Chirac :
«Ça m’en touche une sans faire bouger l’autre.»
Je reproduis ici l'intégralité d'un beau texte de Théo Ruiz (sans retouches).
Mais avant, voici notre introduction.
Fat man et Little boy = 2 bombes largués sur le Japon = 15 mille kg de TNT = 250 000 morts.
Tsar Bomba = bombe russe = 50 millions de kilogrammes de TNT = 3500 fois + puissance.
Les USA ont presque la même chose.
Puisque la Russie ne peut pas vaincre les USA, et que les USA ne peuvent pas vaincre la Russie, ces deux États sont équivalents militairement...
Ils sont donc premières puissances militaires mondiales...
Quelques réflexions à l'attention des trois petits cochons (USA, Russie, Chine),
Et aussi : France, Royaume-Uni, Israël, Inde, Pakistan, Corée du Nord, etc.
-Il faut signer des accords et les respecter.
-Les désaccords peuvent être réglés autrement qu'à la mitraillette.
-Faites l'Amour, pas la guerre !
-Nous ne voulons guère d'une guerre nucléaire.
-Car personne ne gagnera !
-Il y a assez de bombes pour détruire la planète 7 fois.
-Mais 1 fois serait assez...
Et voici les propos de Théo Ruiz (sans retouches).
«La Russie a entre ses mains une arme de destruction massive, la plus puissante : la Tsar Bomba.
Une bombe de tous les records…
Déclassifiées il y a peu, les images de la "Tsar Bomba" font froid dans le dos. Le 30 octobre 1961, l'URSS alors en pleine Guerre Froide,
conçoit une bombe de 50 mégatonnes. À titre de comparaison, la bombe responsable de la destruction de la ville d'Hiroshima au Japon avait une puissance d'environ 15 kilotonnes, soit 3 125 moins puissante.
L'essai, bien que secret, de la "Tsar Bomba", a été détecté par les États-Unis dans la haute atmosphère et l'explosion qui a eu lieu sur
l'archipel de Nouvelle-Zamble dans le cercle arctique, a pu être observée même à plus de 1000 kilomètres de distance.
La détonation a tout détruit sur son passage, sur plus de 50 kilomètres et la chaleur de l'explosion ressentie à 300 km du point zéro,
le point d'impact. La puissance de la Tsar Bomba devait initialement peser 100 mégatonnes
mais les Russes ont décidé de réduire sa puissance afin, selon les mots de Khrouchtchev, "de ne pas briser tous les miroirs de Moscou".
L'onde de choc et la perturbation atmosphérique qui a suivi l'explosion de la Tsar Bomba, ont fait trois fois le tour de la Terre.
Des données aussi impressionnantes qu'inimaginables tellement sa puissance dévastatrice est sans pareille.
La bombe bien trop compliquée à utiliser et transporter a été par la suite abandonnée par les Russes.
Satan 2, la nouvelle menace
Mais l'histoire de la Tsar Bomba résonne aujourd'hui avec un missile nucléaire russe capable de raser un pays entier.
Le RS-28 Sarmat, renommé par l'Otan "Satan 2", est le petit frère de la Tsar Bomba.
Ce missile balistique intercontinental d'une centaine de tonnes est l'arme la plus redoutable de l'arsenal russe.
Son cylindre noir d'une trentaine de mètres peut avoir près de 12 têtes nucléaires et parcourir jusqu'à 10 000 Kms.
Une arme de destruction massive opérationnelle depuis 2020 selon les officiels de l'armée russe,
qualifiée "invulnérable" par l'agence de presse russe TASS.
Outre sa puissance inégalée à l'heure actuelle, le missile longue portée disposerait d'un système furtif capable de tromper les radars ennemis afin de le rendre ainsi invisible. "Satan 2" pourrait donc sans problème atteindre toutes les grandes villes européennes mais aussi des villes de la côte ouest américaine, grâce à son système de "bombardement orbital fractionné".
Une technologie permettant d'envoyer le missile en orbite avant de le faire replonger au sol et ainsi éviter un tour complet de la Terre,
ce qui est aujourd’hui interdit par le traité de l'espace.
Selon Poutine, ce missile serait capable de passer par le pôle Sud et éviter les défenses actuelles.
Il s'agit à ce jour du missile le plus puissant du monde.
La pire crise depuis "Cuba 1962"
Avec l'annonce de Vladimir Poutine d'ordonner la "mise en alerte des forces de dissuasions nucléaire", le chercheur Corentin Sellin, professeur agrégé d'histoire, spécialiste des États-Unis, évoque qu'on "est désormais, peut-être, dans la pire crise géopolitique mondiale depuis Cuba 1962."»
Théo Ruiz
Ouf ! Que c'est bon de se vider, de temps à autres...
À une autre revoyure,
Ruben UY
Les guerres dans le monde me tapent sur les nerfs !
C'est le moins que je puisse dire.
C'est à mon tour de me défouler.
Mais certains sont indifférents, insouciants, insoucieux.
Et quand c'est le cas, on peut redire comme Jacques Chirac :
«Ça m’en touche une sans faire bouger l’autre.»
Je reproduis ici l'intégralité d'un beau texte de Théo Ruiz (sans retouches).
Mais avant, voici notre introduction.
Fat man et Little boy = 2 bombes largués sur le Japon = 15 mille kg de TNT = 250 000 morts.
Tsar Bomba = bombe russe = 50 millions de kilogrammes de TNT = 3500 fois + puissance.
Les USA ont presque la même chose.
Puisque la Russie ne peut pas vaincre les USA, et que les USA ne peuvent pas vaincre la Russie, ces deux États sont équivalents militairement...
Ils sont donc premières puissances militaires mondiales...
Quelques réflexions à l'attention des trois petits cochons (USA, Russie, Chine),
Et aussi : France, Royaume-Uni, Israël, Inde, Pakistan, Corée du Nord, etc.
-Il faut signer des accords et les respecter.
-Les désaccords peuvent être réglés autrement qu'à la mitraillette.
-Faites l'Amour, pas la guerre !
-Nous ne voulons guère d'une guerre nucléaire.
-Car personne ne gagnera !
-Il y a assez de bombes pour détruire la planète 7 fois.
-Mais 1 fois serait assez...
Et voici les propos de Théo Ruiz (sans retouches).
«La Russie a entre ses mains une arme de destruction massive, la plus puissante : la Tsar Bomba.
Une bombe de tous les records…
Déclassifiées il y a peu, les images de la "Tsar Bomba" font froid dans le dos. Le 30 octobre 1961, l'URSS alors en pleine Guerre Froide,
conçoit une bombe de 50 mégatonnes. À titre de comparaison, la bombe responsable de la destruction de la ville d'Hiroshima au Japon avait une puissance d'environ 15 kilotonnes, soit 3 125 moins puissante.
L'essai, bien que secret, de la "Tsar Bomba", a été détecté par les États-Unis dans la haute atmosphère et l'explosion qui a eu lieu sur
l'archipel de Nouvelle-Zamble dans le cercle arctique, a pu être observée même à plus de 1000 kilomètres de distance.
La détonation a tout détruit sur son passage, sur plus de 50 kilomètres et la chaleur de l'explosion ressentie à 300 km du point zéro,
le point d'impact. La puissance de la Tsar Bomba devait initialement peser 100 mégatonnes
mais les Russes ont décidé de réduire sa puissance afin, selon les mots de Khrouchtchev, "de ne pas briser tous les miroirs de Moscou".
L'onde de choc et la perturbation atmosphérique qui a suivi l'explosion de la Tsar Bomba, ont fait trois fois le tour de la Terre.
Des données aussi impressionnantes qu'inimaginables tellement sa puissance dévastatrice est sans pareille.
La bombe bien trop compliquée à utiliser et transporter a été par la suite abandonnée par les Russes.
Satan 2, la nouvelle menace
Mais l'histoire de la Tsar Bomba résonne aujourd'hui avec un missile nucléaire russe capable de raser un pays entier.
Le RS-28 Sarmat, renommé par l'Otan "Satan 2", est le petit frère de la Tsar Bomba.
Ce missile balistique intercontinental d'une centaine de tonnes est l'arme la plus redoutable de l'arsenal russe.
Son cylindre noir d'une trentaine de mètres peut avoir près de 12 têtes nucléaires et parcourir jusqu'à 10 000 Kms.
Une arme de destruction massive opérationnelle depuis 2020 selon les officiels de l'armée russe,
qualifiée "invulnérable" par l'agence de presse russe TASS.
Outre sa puissance inégalée à l'heure actuelle, le missile longue portée disposerait d'un système furtif capable de tromper les radars ennemis afin de le rendre ainsi invisible. "Satan 2" pourrait donc sans problème atteindre toutes les grandes villes européennes mais aussi des villes de la côte ouest américaine, grâce à son système de "bombardement orbital fractionné".
Une technologie permettant d'envoyer le missile en orbite avant de le faire replonger au sol et ainsi éviter un tour complet de la Terre,
ce qui est aujourd’hui interdit par le traité de l'espace.
Selon Poutine, ce missile serait capable de passer par le pôle Sud et éviter les défenses actuelles.
Il s'agit à ce jour du missile le plus puissant du monde.
La pire crise depuis "Cuba 1962"
Avec l'annonce de Vladimir Poutine d'ordonner la "mise en alerte des forces de dissuasions nucléaire", le chercheur Corentin Sellin, professeur agrégé d'histoire, spécialiste des États-Unis, évoque qu'on "est désormais, peut-être, dans la pire crise géopolitique mondiale depuis Cuba 1962."»
Théo Ruiz
Ouf ! Que c'est bon de se vider, de temps à autres...
À une autre revoyure,
Ruben UY